"Ministères dans l’Eglise - Aujourd’hui et demain". Un livre de Jean RIGAL

Sous ce titre, UN LIVRE vient de paraître aux éditions Desclée.

L’AUTEUR en est bien connu des lecteurs de "Jeunes et Vocations", puisqu’il s’agit de Jean RIGAL, ancien coordonnateur du Centre National des Vocations, actuellement professeur à l’Institut Catholique de Toulouse et aumônier des milieux indépendants.

Cet ouvrage de 350 pages reprend une partie de sa thèse de doctorat en théologie. L’auteur s’efforce de faire la synthèse des recherches actuelles concernant les ministères, notamment dans l’Eglise catholique. Il indique un certain nombre de points sur lesquels on pourrait avancer.

L’intérêt de cet ouvrage réside d’abord dans le souci de rejoindre les interrogations d’aujourd’hui : aussi bien la recherche de nouveaux ministères que la spécificité du prêtre dans une Eglise où tous sont responsables de la Foi et de la Mission. Les questions les plus brûlantes sont abordées :
la présidence de l’Eucharistie, l’ordination des hommes mariés et des femmes au presbytérat, le rôle des communautés pour susciter de nouveaux ministres.

La démarche comporte trois étapes mises en lumière par le sommaire :

1ère partie : LES MINISTERES ECCLESIAUX EN FRANCE APRES VATICAN II

 l’analyse du terrain

 l’enseignement du magistère

 confrontations

2ème partie : PERSPECTIVES THEOLOGIQUES

 Mystère et Ministère de l’Eglise

 Communautés et ministères

 Le ministère apostolique

3ème partie : L’ETRE-ENSEMBLE DES CHRETIENS

 Pour de "nouveaux ministères"

 L’avenir du minist7re presbytéral : responsabilité pour l’Eglise d’aujourd’hui

 Du dualisme prêtres-laïcs à un nouvel équilibre ecclésial.

Ce livre présente une théologie assez complète sur les ministères, éclaire nombre de débats actuels, propose des pistes pour aller plus loin. Il est écrit dans un style clair et limpide qui le met à la portée d’un grand nombre.

Il aidera les services de vocations dans leur responsabilité ainsi que tous ceux, laïcs, religieux, religieuses, ministres ordonnés, qui se sentent plus directement concernés par la question des ministères.