La propédeutique interdiocésaine de Nancy


Joseph de Metz-Noblat
prêtre du diocèse de Verdun
responsable de la propédeutique de Nancy

C’est en 1997 que les quatre évêques de Lorraine ont décidé de fonder une année propédeutique 1. Elle concerne donc en priorité les diocèses de Metz, Nancy et Toul, Saint-Dié et Verdun, mais elle est ouverte aux diocèses ou aux instituts religieux qui désirent y envoyer des candidats.

Cette fondation est dans le prolongement du regroupement, vingt-cinq ans plus tôt, pour les mêmes diocèses, des instances de formation au ministère presbytéral, avec le séminaire de premier cycle à Nancy et celui de second cycle à Metz. Elle vient surtout de la prise de conscience des évêques de la modification du profil des candidats au sacerdoce. Comme le rappelle la Charte de cette époque : « Ils ont discerné la nécessité pour aujourd’hui de proposer à ceux qui mûrissent un projet de ministère presbytéral diocésain, un temps de structuration humaine et chrétienne qui leur permette d’approfondir leur foi et de s’enraciner dans l’Église. »

En effet, il faut constater que ceux qui se proposent pour le ministère presbytéral ne proviennent plus des voies « classiques ». Jusqu’à la fin des années 60, la majeure partie des séminaristes passaient par le petit séminaire. Ayant pour la plupart exprimé durant leur enfance la sensibilité à un appel du Seigneur, ou ayant été repérés par leur curé ou un prêtre de leur entourage pour leurs dispositions, ils avaient été portés tout au long de leur scolarité par la fréquentation de cette école. Ils avaient eu ainsi sept ans de discernement, puis encore durant le grand séminaire, six ans (sept – voire plus – avec le service militaire) avant l’ordination pour une décision la plus libre possible.

Les générations contemporaines pourraient être qualifiées, selon la terminologie antérieure, de « vocations tardives ». En effet, c’est souvent au sortir de l’adolescence que s’exprime à présent le désir de consacrer sa vie à Dieu. Si les vocations de la prime enfance existent toujours, de plus en plus nombreux sont les jeunes adultes, qui à la suite de leurs études ou d’un temps professionnel, formulent à frais nouveaux leur choix de vie. Certains ignorent tout – ou presque – de la foi chrétienne ou ont des souvenirs lointains de leur catéchisme, alors que d’autres mènent depuis longtemps une vie chrétienne soutenue.

C’est pourquoi, en dix ans d’existence, l’accent s’est légèrement infléchi quant à la finalité de cette formation préalable. La Charte de 2006 affirme : « Le but de la propédeutique est d’achever le discernement vocationnel de jeunes hommes désireux de se mettre au service du Christ et de l’Église dans le sacerdoce. » La propédeutique interdiocésaine de Nancy se situe donc à la charnière entre le travail opéré par le service des vocations et la formation engagée en séminaire ou en noviciat, le discernement pouvant révéler une vocation religieuse ou monastique. Dès le premier jour, la question est posée : « À quoi le Seigneur m’appelle-t-il ? » Et la réponse sera donnée au fil des neuf mois qui suivent, singulièrement à l’issue d’une retraite d’élection de dix jours selon la méthode ignatienne, vécue en juin.

 

 

Les acteurs du discernement

 

C’est Dieu qui a l’initiative, c’est Lui qui appelle. C’est pourquoi la perspective première de la propédeutique est une mise à l’écoute de l’Esprit Saint. La réalité de l’Incarnation nous oblige à reconnaître que les appels du Seigneur passent par des canaux concrets : les aptitudes personnelles, le cheminement spirituel, la résonance de sa Parole dans le cœur de chacun. Vouloir servir le Christ, c’est se mettre à son école, dans une disponibilité qui révèle la convergence des volontés. Car il est souvent facile de suivre sa volonté propre plutôt que celle du Christ. Le discernement passe par une humilité spirituelle et une recherche de l’intimité avec le Seigneur.

Cette intimité est l’intimité tant du cœur que de l’intelligence. Aussi la propédeutique favorise-t-elle la compréhension de la Révélation biblique par la pratique de la lectio divina et la lecture systématique du Catéchisme de l’Église catholique (CEC), qui permet une remise à niveau catéchétique et assure une synthèse du mystère chrétien avant, le cas échéant, la formation théologique proprement dite. Mais la Révélation se comprend aussi dans la reconnaissance concrète du Christ sur le visage des frères humains, vécue dans le service concret, tant dans la communauté elle-même qu’au dehors. L’intimité avec le Christ ne doit-elle pas saisir tout l’être ?

Il est aisé de comprendre que, si l’agent principal est le Saint Esprit, les acteurs premiers du discernement sont les jeunes eux-mêmes. Il importe donc qu’ils aient sérieusement et librement mûri leur engagement à vivre ce temps en propédeutique et prennent également leur part de responsabilité dans ce cheminement, au terme duquel ils motivent leur décision par écrit.

Concrètement, pour cette année 2007-2008, ils sont six, âgés de vingt à quarante ans. Ils proviennent des diocèses de Metz (deux), Nancy (un), Verdun (un) et Dijon (deux). L’un était moniteur de voile et a pratiquement fait le tour du monde ; le second était directeur des ressources humaines en entreprise ; le troisième, après des études de boulangerie, a plutôt travaillé dans la mécanique ; le quatrième a achevé des études d’histoire ; les deux plus jeunes sortent du lycée. Bref, des parcours scolaires et professionnels très divers. Il en est de même de leurs parcours ecclésiaux : servant de messe depuis l’enfance, simple fidèle attaché à la vie paroissiale, « recommençant » ayant fait sa première communion à vingt-cinq ans, membre d’une chorale… Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y a pas de « profil-type » !

L’élément déclencheur de leur démarche de discernement est parfois nettement identifiable. Ainsi, parmi les candidats des années précédentes, l’un d’eux avait fait le pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle, d’où la conviction d’un appel de Dieu au sacerdoce était sortie ; un autre avait été frappé par la mort du pape Jean-Paul II ; un autre était saturé par l’ambiance professionnelle où seule la course à l’argent dominait. Parfois, comme cette année, cela est plus diffus : « un vieux volcan éteint qui s’est rallumé » ; « une question lancinante : pourquoi pas toi ? » L’appel de Dieu n’est pas uniforme…

Ils sont aidés dans ce discernement par l’Église. C’est-à-dire tout d’abord par l’équipe animatrice. Elle est actuellement composée de quatre prêtres, l’un du diocèse de Verdun (le supérieur), deux autres du diocèse de Metz, dont un ancien professeur à la retraite, un père jésuite. Cette équipe n’est pas seule ; elle est assistée par des intervenants extérieurs, un prêtre diocésain, un lazariste et deux laïques, dont elle sollicite l’avis au cours de l’année. Elle est éclairée également par l’appréciation apportée par les responsables de stage (ou « expériments » dont il sera question ci-dessous), là où les candidats les ont effectués. Mais c’est bien sûr l’évêque qui a le dernier mot, ès qualités…

Le rôle de l’équipe animatrice est à la fois simple et fondamental. Simple, en ce sens que le « travail pastoral » est limité : il faut avant tout être présent, pour écouter, conseiller, discerner. Fondamental, par le témoignage d’une vie sacerdotale la plus authentique possible, où transparaissent une foi joyeuse, un bon sens de l’Église, une charité pastorale. La diversité des figures sacerdotales permet aussi une diversité de modèles : il n’existe pas de « prêtre-type ».

Il faut ajouter que les membres de l’équipe animatrice sont également bénéficiaires de la présence des propédeutes ! L’interaction est stimulante, quand il s’agit de se mettre à l’écoute de l’Esprit Saint, qui fait entrer dans la joie parfaite 2 (cf. Jn 15, 11).

 

 

Un quadruple sentier pour le discernement

 

En suivant les recommandations de l’exhortation apostolique Pastores dabo vobis du pape Jean-Paul II (1992), la propédeutique est attentive à quatre dimensions fondamentales, à travers lesquelles s’exerce le discernement : humaine, spirituelle, intellectuelle et pastorale. Ces dimensions ne s’opposent pas, au contraire, elles se complètent. C’est dans l’équilibre des quatre composantes que peut se distinguer l’œuvre de l’Esprit Saint, dont le fruit est « amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi, douceur, maîtrise de soi » (Ga 5, 22-23) qui accorde à l’Église les dons les plus divers (cf. 1 Co 12).

La vie communautaire

Elle est le moyen privilégié pour vérifier la maturité humaine des candidats au ministère presbytéral. Elle est à la fois un lieu de soutien et d’affrontement qui révèle le tempérament de chacun et oblige à la charité concrète, en permettant, pour reprendre les termes de l’encyclique Deus caritas est de Benoît XVI (2006), que l’éros devienne peu à peu agapè. Certes, le temps vécu ensemble est relativement court, puisque ce ne sont que « neuf mois pour Dieu », desquels il faut retrancher les périodes de stages et de vacances. C’est, pour certains, l’apprentissage de la vie en commun et la découverte de ce que signifie l’Église, selon le modèle de la première communauté chrétienne (cf. Ac 4, 32s), sans cependant trop l’idéaliser !

Cette vie en commun est organisée répartissant les rôles au service de tous. Au début de l’année, certaines tâches sont distribuées, par mode électif : doyen, intendant, vaguemestre, sacristain, responsable des sports, responsable de la culture et de la communication, responsable des travaux. Chacun exerce donc une responsabilité et, suivant le nombre réel de membres, les postes sont couplés. L’important ici est d’être en position d’acteur et non de simple consommateur. Au milieu de l’année, au retour de « l’expériment pauvreté », les fonctions sont redistribuées. Dans la vie concrète ordinaire également, chacun met la main à la pâte, à tour de rôle, pour la vaisselle, le ménage, le service de la table, l’animation liturgique. Si l’alimentation est fournie par une société de restauration collective qui dessert les écoles voisines, un cours pratique de cuisine est assuré chaque lundi par une bénévole qui veille sur la maison, apportant d’ailleurs une touche féminine aux lieux.

La prière

Savourer la prière de l’Église et la prière individuelle permet d’avancer dans l’intimité avec le Seigneur, d’une manière non pas égocentrique mais ecclésiale, c’est-à-dire avec le souci d’intercéder pour le monde et de rendre grâce au Père par le Fils dans l’Esprit. L’accompagnement spirituel, assuré par un des prêtres de l’équipe animatrice (excepté, bien sûr, le supérieur), permet la relecture de vie et contribue à ce que chacun soit acteur du discernement de sa propre vocation. Concrètement, à Nancy, la dimension spirituelle est affermie par la prière des Heures (laudes, vêpres, complies), la célébration eucharistique et la lectio divina quotidiennes, l’oraison personnelle, ainsi que par une veillée hebdomadaire de prière, animée à tour de rôle par les membres de la communauté.

Pour que la maison ne soit pas trop fermée sur elle-même, les propédeutes sont invités certains jours à vivre la célébration eucharistique en paroisse, chez les Dominicains ou les Jésuites, ou avec l’aumônerie des étudiants. Concrètement, la messe n’est célébrée sur place que trois jours par semaine. Il y a là un enjeu ecclésial : si un chrétien isolé est un chrétien en danger, a fortiori une maison de formation !

La formation intellectuelle

De même que Jésus « ouvrit l’esprit [de ses Apôtres] à l’intelligence des Écritures » (Lc 24, 45), l’apport de la propédeutique dans le domaine intellectuel demeure de l’ordre de l’ouverture, c’est-à-dire de l’éveil. Ici se vérifie le goût de chacun pour la compréhension du mystère chrétien et sa capacité à le transmettre par la parole et par le geste. L’enjeu est d’importance, car la connaissance du cœur nécessite l’adhésion de la raison, dans cette complémentarité évoquée ci-dessus. Il ne s’agit pas uniquement de la « science sacrée » ; Dieu est à l’œuvre en cet âge : l’intérêt pour la vie des hommes, pour la vie du monde, révèle donc l’intérêt pour l’œuvre de Dieu ! Il s’agit bien d’apprendre à reconnaître la « trace » de Dieu, à « discerner les signes des temps » autour de soi et jusqu’à l’intime (cf. l’expression de saint Augustin : intimior intimo meo).

Concrètement, cette ouverture se fait par une entrée dans la philosophie, la lecture biblique, l’histoire de l’Église, la liturgie, la découverte des grandes figures spirituelles ainsi que par la lecture du Catéchisme de l’Église catholique et de certains textes du concile Vatican II, mais elle se vit également par la rencontre de personnes investies dans l’Église ou dans la société, par des débats sur des sujets d’actualité, des soirées culturelles, une ouverture au monde puisqu’il n’est rien de vraiment humain qui ne trouve écho dans le cœur des disciples du Christ (cf. Gaudium et spes 1).

Chaque mois, les propédeutes travaillent à la rédaction d’un devoir dans l’une des matières enseignées. Ils sont conduits aussi à présenter des exposés sur un sujet d’actualité ou un thème qui leur tient à cœur. C’est l’occasion d’apprécier leur aptitude à retransmettre ce qu’ils ont perçu. Chaque semaine également, ils animent une émission de radio sur une antenne locale, appelée FAJET (Fréquence des aumôneries des jeunes de l’enseignement technique) : c’est une véritable gageure d’exprimer en termes simples le mystère de la foi, à travers le cycle liturgique ou la relecture des événements sociaux […].

Un ultime exercice de communication : la mise à jour du site Internet ; malheureusement les bonnes volontés sont rares, car une telle mise à jour est astreignante, nécessite imagination et production, alors qu’il est plus facile de se contenter de consommer.

Rencontrer l’Église

Cette soif de connaître s’accompagne d’un amour de l’Église. Et qui dit amour dit également connaissance. Aucune dimension ne veut être oubliée, et différents stages (appelés « expériments ») permettent de mieux entrer dans cette connaissance : Semaine sainte en abbaye pour découvrir en même temps, dans leur radicalité, le sens de la vie monastique et le sens du triduum pascal, séjour dans des communautés religieuses, présence en paroisse pour voir vivre un prêtre diocésain, et un mois complet dans un lieu à caractère social (Arche de Jean Vanier, Compagnons d’Emmaüs, Petites sœurs des pauvres, hôpital) pour apprécier la solidarité de l’Église avec la famille humaine (cf. Gaudium et spes), et surtout avec les pauvres qui sont l’image du Christ (Mt 25, 40).

Cet « expériment pauvreté » est un véritable tournant dans la vie de la propédeutique. La confrontation à une autre vie communautaire permet déjà de relativiser les difficultés internes. L’attention à plus démuni que soi est lieu d’évangélisation personnelle. Certains, partis vaillamment pour donner le meilleur d’eux-mêmes, se sont rendu compte qu’ils avaient en fait surtout reçu. À travers le témoignage simple d’une espérance vécue dans la foi au milieu des épreuves de la vie, la force de la Résurrection prend une saveur nouvelle. « Je n’aurais pas pensé vivre ainsi mon carême : j’ai appris qu’il fallait valoriser l’autre pour l’aimer, et aussi qu’il fallait s’aimer soi-même pour aimer les autres. » « C’est un autre visage d’Église que j’ai découvert : une Église disponible, à l’écoute des personnes. » « J’ai appris à considérer l’autre comme un frère, à le regarder sans préjugés. » « Plus on s’appauvrit, plus on s’enrichit : le service vrai nécessite un certain dépouillement. » Voilà quelques expressions glanées cette année à leur retour d’expériment. Et même si, depuis le début de l’année, ils ont chaque semaine, passé un après-midi à visiter des malades ou des personnes âgées, quelques-uns vivent là leur première réelle expérience de confrontation durable à la souffrance, voire à la mort. Ils sont amenés alors à découvrir leur propre faiblesse, pour pouvoir redire avec saint Paul : « Lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort » (2 Co 12, 10). Les repères chrétiens en ces lieux ne sont pas forcément identiques à ceux qu’ils connaissent : ils sont alors acculés à prendre les moyens concrets pour « durer » dans la prière ou la participation à l’Eucharistie. Ceux qui réussissent à en faire une véritable expérience spirituelle sortent grandis de ces semaines souvent rudes et décapantes. Le service patient permet de vivre la charité en actes…

 

 

Quelles perspectives ?

 

Tous ne deviendront pas prêtres, mais ils auront vécu une année précieuse pour leur vie dans la réflexion, la prière et le service. Ils pourront alors trouver une manière de vivre leur baptême la mieux adaptée possible. Ils auront compris aussi la confiance que leur accorde l’Église, cette formation étant prise en charge matériellement par leur diocèse d’origine. En des temps où les jeunes se sentent parfois ignorés, cela est important à signaler ! Il est difficile d’établir des statistiques quant à l’avenir des participants, car ceux qui passent par la propédeutique ne donnent pas forcément de leurs nouvelles dans les années qui suivent, surtout s’ils n’ont pas poursuivi une formation vers le ministère presbytéral ou s’ils sont retournés dans leur région d’origine, hors Lorraine. De temps en temps, cependant, l’un ou l’autre « réapparaît » ou reprend contact. Ceux qui ont su orienter positivement leur vie, par un simple bonjour, viennent en fait remercier l’équipe animatrice et apportent ainsi des motifs d’action de grâce. Pour d’autres, restés dans l’indécision quand s’achevait leur présence à Nancy, la situation est parfois plus délicate ; dans certains cas, une deuxième année ici aurait été nécessaire, mais cela ne fait pas partie du « contrat ». La difficulté à se déterminer obère sérieusement l’avenir de jeunes qui vont errer alors d’une instance à l’autre, d’une formation à une autre, jusqu’à se poser, un peu par nécessité, dans une situation professionnelle. La maturité n’arrive pas forcément avec l’âge de la majorité légale… Comment les aider ? La proposition d’un accompagnement spirituel, voire psychologique, peut leur être faite. C’est peut-être une des limites de notre institution. La propédeutique n’a pas pour vocation première de jouer les assistantes sociales. Pour entrer ici, la bonne volonté suffit. Aucune exigence particulière, sinon celle de vouloir réellement se mettre à l’écoute des appels de Dieu, avec l’intuition première que cela peut être dans le sacerdoce diocésain. Une bonne volonté authentifiée par le service des vocations qui présente le candidat. Une bonne volonté qui aura à se transformer, peu à peu, en disposition du cœur, comme cela a été dit plus haut, en réponse à l’appel de Dieu et de l’Église. Car c’est Dieu qui appelle, qui ne cesse d’appeler. Il n’y a pas d’âge pour répondre à cet appel. Et être prêtre pour le service du Christ et de l’Église, c’est une aventure passionnante. La propédeutique permet de ne pas s’y engager à la légère.

 


1 – D’abord située dans les locaux du grand séminaire Notre-Dame de l’Asnée, elle a été déplacée en 2002 en centre-ville et mise sous le patronage du Précurseur, qui montre « celui qui est la Voie ». Adresse actuelle : Propédeutique Saint-Jean Baptiste, 27 rue Drouin, 54000 Nancy. Tél. : 03.83.32.99.30

2 - Adage privilégié de la propédeutique de Nancy : « Un saint triste est un triste saint. »